Bonjour !
Toujours comme d'habitude, il est possible que certains passages puissent être... rho et puis si vous êtes rendu(e)s là, vous savez déjà ce qu'il en est ! :D Sachez que vous pouvez cliquer sur les images pour les agrandir.
Bonne lecture !
Toujours comme d'habitude, il est possible que certains passages puissent être... rho et puis si vous êtes rendu(e)s là, vous savez déjà ce qu'il en est ! :D Sachez que vous pouvez cliquer sur les images pour les agrandir.
Bonne lecture !
- Partie I : Chapitre III -
Je
ne le savais pas encore, mais ce doux regard allait marquer un
tournant décisif dans ma vie jusque là monotone.
Un œil bleu clair si naïf, si ingénu. Cet air qui me donnait sans cesse envie de l'étriper. La première chose que je vis fut cette main fine et fragile qui m'arrêtait. Sortant de ma stupéfaction, je découvris ensuite mon interlocuteur. Il était plus grand que moi et pourtant semblait si jeune, 16 ans tout au plus. Son visage nacré était trempé de gouttes de sueurs. Il posait sur moi de grands yeux effrayés. Ils étaient aussi bleus et clairs que les miens pouvaient être d'un bleu obscur. Des yeux azurés à la fois apaisants et agaçants. Une avalanche de cheveux blonds, légèrement ondulés et épais lui descendait jusqu'aux reins. Il avait l'air tellement niais. Lentement, avec une appréhension certaine, il ouvrit la bouche pour parler : « Non, s'il te plaît. Attends, je te cherchais justement... » Il avait une voix douce et mélancolique. Un timbre si enfantin. Intriguée par ses intentions, je détendis mon corps, jusque là toujours en position d'attaque. Je lui fis signe de poursuivre.
Un œil bleu clair si naïf, si ingénu. Cet air qui me donnait sans cesse envie de l'étriper. La première chose que je vis fut cette main fine et fragile qui m'arrêtait. Sortant de ma stupéfaction, je découvris ensuite mon interlocuteur. Il était plus grand que moi et pourtant semblait si jeune, 16 ans tout au plus. Son visage nacré était trempé de gouttes de sueurs. Il posait sur moi de grands yeux effrayés. Ils étaient aussi bleus et clairs que les miens pouvaient être d'un bleu obscur. Des yeux azurés à la fois apaisants et agaçants. Une avalanche de cheveux blonds, légèrement ondulés et épais lui descendait jusqu'aux reins. Il avait l'air tellement niais. Lentement, avec une appréhension certaine, il ouvrit la bouche pour parler : « Non, s'il te plaît. Attends, je te cherchais justement... » Il avait une voix douce et mélancolique. Un timbre si enfantin. Intriguée par ses intentions, je détendis mon corps, jusque là toujours en position d'attaque. Je lui fis signe de poursuivre.
« Pas ici. On pourrait nous
surprendre...
- Et où veux-tu que je t'emmène? Dans ma crypte d'où tu ne pourras plus ressortir ? demandai-je avec ironie.
- Et où veux-tu que je t'emmène? Dans ma crypte d'où tu ne pourras plus ressortir ? demandai-je avec ironie.
-
Ça
me convient. »
Décidément, ce petit effronté n'avait pas
froid aux yeux. Il savait pertinemment ce qui l'attendrait une fois
là-bas.
Arrivés dans le tombeau où
j'avais temporairement élu résidence, mon agitateur défit son
manteau. À en juger par ses vêtements, il devait être d'origine
russe. Il portait une sorte de caftan léger. Les longues manches
dissimulaient ses bras maigrelets. Un mince col peu imposant abritait
sa gorge de la fraîcheur nocturne. Je ressentais ses veines lancer
de frénétiques pulsations contre son cou. L'envie de m'abreuver de
son énergie vitale n'en était que plus forte. Il devait le sentir,
son cœur battait à tout rompre. Un boucan infernal. Il desserra
nerveusement son col. S'en était trop pour moi, c'était plus qu'une
invitation à boire maintenant. Lui et moi savions exactement ce qui
se passerait. Ne pouvant plus me retenir, je m’avançai vers lui.
Je le plaquai contre le mur, l'immobilisant. Il me regarda, conscient
de sa position et ferma les yeux. Ils s'abandonnait totalement à
moi. Ne faisant aucun effort pour me freiner, je plongeai mes
puissants crocs dans sa chair. Un gémissement sorti de sa bouche. Je
bus goulûment. Je sentais que je puisais dans ses dernières
réserves. Alors qu'il était sur le point de s'évanouir, mon repas
usa de ses dernières forces :
« ... D... Dimitri...
- Hein ?
- ... J... Je... m'appelle... D... »
- Hein ?
- ... J... Je... m'appelle... D... »
Pétrifiée, je
lâchai tout. Son corps inconscient s'écroula sur le sol glacé de
la tombe. Hors de moi, je saccageai le tombeau, profanant la tombe de
mon hôte pour envoyer valser ses ossements à travers la pièce.
« Sombre crétin ! » Je poussai des cris
hystériques, donnant des coups de pieds à son corps inerte. «
Pourquoi avais-tu besoin de me donner ton nom, stupide blondinet
écervelé !!! » Une légère plainte émana du corps. Il
était toujours en vie. Soit. Le jour n'allait pas tarder à poindre.
Je le laissais là et partit dormir en prenant la place du mort qui
occupait initialement cette sépulture.
En me réveillant, le soir
suivant, Je vis mon jeune imbécile, toujours inconscient. Il avait
perdu beaucoup de sang au cours de la journée. Il était mort. Je
saisis l'un de ses pieds et commençai à le traîner hors de mon
sanctuaire. Une faible râle m'interrompit. Ça alors, il était
toujours vivant ! Je revins vers lui. Malgré sa volonté de
vivre véhémente, il agonisait. Dieu que c'était fascinant de voir
la souffrance sur son visage ! Il était tellement expressif.
Voir les traits de lutte contre la mort se dessiner sur son visage
était absolument excitant. À la
vitesse de l'éclair, je fonçai en ville me chercher à manger et
acheter de quoi peindre, priant pour qu'il ne meure pas entre temps.
Lorsque je fis de nouveau face à la tombe, je perçus que la vie ne
l'avait pas encore quitté. Je me mis immédiatement au travail. Cela
faisait longtemps que je n'avais pas peint, mais mon coup de pinceau
ne m'avait pas quitté. Je passai la nuit à représenter le mourant
sur une toile, essayant de retranscrire ses moindres rictus de
douleur. Je dessinais la blondeur de ses cheveux, souillée par son
sang. Il se tordait tellement de douleur que je ne pensais pas
l'humain capable de tels prouesses physiques. Un peu avant l'aube je
partis chercher une banane et un peu d'eau que je gardais dans une
gourde et vint la poser bien en évidence près du blondinet. Je
partis ensuite me coucher. Si le lendemain soir il avait réussi à
prendre ainsi qu'à consommer la banane et l'eau, je le garderais
auprès de moi. Évidemment, cela
incluait qu'il survive jusque là... Mon sommeil fut agité cette
journée, il me semblait entendre, ou croire entendre, quelques
mouvements à l'intérieur du tombeau. Cependant, je ne pensais pas
le jeune homme capable de bouger le petit doigt. Quel ne fut pas le
choc lorsqu'en me levant je le vis assis contre le mur, le verre vide
et la peau de banane déjà assaillie de fourmis. Il tenait
difficilement assis tandis qu'il engloutissait fébrilement la fin de
sa banane. Je comptais tenir le pari que je m'étais fait à
moi-même. Sans un mot, je sortis du tombeau pour n'y revenir que
quelques heures plus tard, un sac rempli de provisions destinées à
mon nouveau "protégé".
Alors qu'il enfournait des bouchées
de pain de plus en plus grosses, je décidai de rompre le silence.
« Tu as dit que tu me cherchais... Dimitri ? Pourquoi ? »
Il me regarda de ses grands yeux, surpris par ma question. Il avait du pain plein la bouche et communiquer semblait difficile.
« Donne moi une seule bonne raison de ne pas faire de ta tendre chair mon repas...» Il déglutit avec difficulté.
« Tu as dit que tu me cherchais... Dimitri ? Pourquoi ? »
Il me regarda de ses grands yeux, surpris par ma question. Il avait du pain plein la bouche et communiquer semblait difficile.
« Donne moi une seule bonne raison de ne pas faire de ta tendre chair mon repas...» Il déglutit avec difficulté.
- Je sais des choses... Des
choses qui vous seraient utiles...
- Hah ! Et pourquoi ne te torturerais-je pas pour obtenir ses informations et abrégerais-je ensuite tes souffrances ?
- Hah ! Et pourquoi ne te torturerais-je pas pour obtenir ses informations et abrégerais-je ensuite tes souffrances ?
Je discernais la
fascination dans son regard opalin. Il luttait énormément pour ne
pas succomber à mes atouts.
- Parce que... Je veux vous protéger..., me dit-il avec sérieux.
- Ha ha ha ha ha !!! Me protéger ?!! Mon pauvre agneau, je crois que tu n'as pas saisi qui était le loup dans cette histoire ! »
- Parce que... Je veux vous protéger..., me dit-il avec sérieux.
- Ha ha ha ha ha !!! Me protéger ?!! Mon pauvre agneau, je crois que tu n'as pas saisi qui était le loup dans cette histoire ! »
Il me regarda, incrédule. L'ingénu ne
savait pas s'il devait être amusé ou effrayé. Il serait très
intéressant à étudier.
« Tu es vraiment très distrayant ! Mais maintenant, la plaisanterie a assez duré, dis-moi pourquoi tu me cherchais et ce que tu sais. Je te laisserais peut-être en vie après. menaçai-je.
« Tu es vraiment très distrayant ! Mais maintenant, la plaisanterie a assez duré, dis-moi pourquoi tu me cherchais et ce que tu sais. Je te laisserais peut-être en vie après. menaçai-je.
- Je ne peux pas me résoudre
à vous dire tout ce que je sais dès maintenant. Il en va de votre
protection.
- Ah ! Tu commence à m'énerver stupide animal !! Tu tiens tant à mourir ? Méfie-toi, je ne suis pas si patiente d'habitude !
- Je peux vous dire une chose : je sais des choses à propos de celui que vous appelez « "Maître" ». révéla l'ingénu.
- Ah ! Tu commence à m'énerver stupide animal !! Tu tiens tant à mourir ? Méfie-toi, je ne suis pas si patiente d'habitude !
- Je peux vous dire une chose : je sais des choses à propos de celui que vous appelez « "Maître" ». révéla l'ingénu.
Mon Maître. Je ne
tenais plus en place. Mon corps bouillonnait de toutes parts. Je
saisis les épaules de Dimitri.
« Que sais-tu ? Parle ! Où est-il ? Quel est son nom ? Que veut-il faire de moi ?!! Tu vas répondre !!! m'emportai-je.
- Permettez-moi de vous proposer un marché. En échange de mes informations, gardez moi auprès de vous.
- Tu n'as pas idée de ce que tu me demande. Tu as la folie de la jeunesse mon pauvre. Quel âge as-tu ? ajoutai-je avec curiosité.
- J'ai 16 ans.
- 16 ans. Un enfant, rien de plus... Tu m'encombreras plus qu'autre chose. J'ai mieux à faire que de te payer à manger.
- Vous n'aurez pas à le faire. Je sais me débrouiller. assura-t-il.
- Je suis loin d'être gentille. Je ne te cache pas que je te torturerais... Tu as des expressions tellement intenses, je veux toutes les découvrir. expliquai-je nonchalamment.
- Je le supporterais.
- Et pourquoi donc acceptes-tu un tel sacrifice ? dis-je en frottant mon front d'un geste impatient.
- Pour vous protéger. répéta Dimitri.
- Ah, ce que tu peux être ennuyeux ! N'as-tu pas un autre discours ? soupirai-je.
- Non. C'est ma seule motivation.
- Et pourquoi ? Comment connais-tu mon existence ?
- Je ne peux pas vous le dire... avoua le jeune homme en rougissant.
- Si tu tiens tant à rester auprès de moi, il va falloir être conciliant !
- … C-C'est par votre maître. bafouilla-t-il enfin.
- Tu l'as vu ? Où ?
- Je ne peux pas vous le dire ! Il est dangereux ! N'essayez pas de le retrouver !
- Bien sûr qu'il est dangereux. Je le suis tout autant mon cher Dimitri... ris-je.
- C'est au delà de ce que vous pouvez imaginer.
- Ça suffit. En une nuit, je me suis déjà lassée de toi...
- Je ne peux pas vous dire à quel point il est dangereux... C'est encore trop... douloureux pour vous l'expliquer... insista l'enfant, la mine déconfite.
- Bon sang, mais tu es un chien errant ou quoi ?! Retourne dans le doux foyer dans lequel ta maman est en train de te préparer un délicieux pot-au-feu ! »
« Que sais-tu ? Parle ! Où est-il ? Quel est son nom ? Que veut-il faire de moi ?!! Tu vas répondre !!! m'emportai-je.
- Permettez-moi de vous proposer un marché. En échange de mes informations, gardez moi auprès de vous.
- Tu n'as pas idée de ce que tu me demande. Tu as la folie de la jeunesse mon pauvre. Quel âge as-tu ? ajoutai-je avec curiosité.
- J'ai 16 ans.
- 16 ans. Un enfant, rien de plus... Tu m'encombreras plus qu'autre chose. J'ai mieux à faire que de te payer à manger.
- Vous n'aurez pas à le faire. Je sais me débrouiller. assura-t-il.
- Je suis loin d'être gentille. Je ne te cache pas que je te torturerais... Tu as des expressions tellement intenses, je veux toutes les découvrir. expliquai-je nonchalamment.
- Je le supporterais.
- Et pourquoi donc acceptes-tu un tel sacrifice ? dis-je en frottant mon front d'un geste impatient.
- Pour vous protéger. répéta Dimitri.
- Ah, ce que tu peux être ennuyeux ! N'as-tu pas un autre discours ? soupirai-je.
- Non. C'est ma seule motivation.
- Et pourquoi ? Comment connais-tu mon existence ?
- Je ne peux pas vous le dire... avoua le jeune homme en rougissant.
- Si tu tiens tant à rester auprès de moi, il va falloir être conciliant !
- … C-C'est par votre maître. bafouilla-t-il enfin.
- Tu l'as vu ? Où ?
- Je ne peux pas vous le dire ! Il est dangereux ! N'essayez pas de le retrouver !
- Bien sûr qu'il est dangereux. Je le suis tout autant mon cher Dimitri... ris-je.
- C'est au delà de ce que vous pouvez imaginer.
- Ça suffit. En une nuit, je me suis déjà lassée de toi...
- Je ne peux pas vous dire à quel point il est dangereux... C'est encore trop... douloureux pour vous l'expliquer... insista l'enfant, la mine déconfite.
- Bon sang, mais tu es un chien errant ou quoi ?! Retourne dans le doux foyer dans lequel ta maman est en train de te préparer un délicieux pot-au-feu ! »
Son
joli visage rosé s'assombrit tout à coup. Il baissa la tête,
visiblement en proie à une souffrance qu'il tentait de dissimuler.
Une expression tellement adorable. Il faudrait que je retrouve
comment la déclencher...
« Je suis désolé, Saya. Je
n'ai nulle part où rentrer. Je suis orphelin... »
Oh non. Pas
les jérémiades d'un orphelin, non...
« C'est pour cela que je n'ai plus rien à perdre. Laissez-moi vous accompagner. J'ai un héritage qui pourrait vous être utile ! Vous n'auriez plus besoin de dormir dans ces tombeaux froids et humides ! »
« C'est pour cela que je n'ai plus rien à perdre. Laissez-moi vous accompagner. J'ai un héritage qui pourrait vous être utile ! Vous n'auriez plus besoin de dormir dans ces tombeaux froids et humides ! »
Je tentais de capter ses
pensées depuis le début mais jamais il ne m'avait ouvert son
esprit. Comment faisait-il ? Cela piquait ma curiosité au vif.
En revanche, il me laissait percevoir sa détermination à rester
auprès de moi. Les dés étaient jetés.
« Rha ! Bien ! Tu peux rester ! »
« Rha ! Bien ! Tu peux rester ! »
Je m'accroupis à côté de lui, pris
son poignet et relevai sa manche. Il tressaillit au contact de mes
longs doigts froids. Je léchai l'intérieur du poignet. Le sang
battait dans ses veines, menaçant d'exploser. Son sang lui même me
réclamait, réclamait sa maîtresse. Je sentais l'adrénaline monter
dans le cœur de Dimitri. Ses veines palpitaient avec férocité. Il
me désirait autant que je le désirais. « Bienvenue dans mon
monde, mon tendre Dimitri. » Brusquement, je plantai mes crocs
dans son poignet. Il étouffa un cri de stupeur mais ne se débattit
pas. Il me regardait. Il acceptait. Notre pacte était scellé.
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- fin du chapitre III -
Lien → Partie I : Chapitre IV
WAHWAHWAH !!!!! L'est super top ton chapitre !
RépondreSupprimerJe suis totalement fan ma lala
Nyaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah!
RépondreSupprimerJe suis in love de Dimi-chou.
Il est juste trop trop craquant, adorable, je le veuuux pour moi toute seule x'D
Blondinet d'amuuuur.
Sinon, chapitre fluide, puissant et toujours aussi agréable à lire, bravo Lala.
Vive Saga la sanguinaiiiire <3
#Ange
Hello, it's Mucha !
RépondreSupprimer"mon repas" xDDDDDDDDDDDDDDDDDDDDD J'étais morte de rire quand j'ai lu ça, c'est comme si je sortais dans la rue et que j'appelai la première personne venue "humain" xDDDD
Sinon, le chapitre est pas mal, meme si je t'avoue que l'idée de Miss Psycho de peindre une personne en train d'agoniser m'a laissé pour le moins.........perplexe xDDDDDD
*petit aperçu de ce que j'ai pensé à ce moment-là : ................WTF ???*
Je me demande bien ce qu'il va se passer dans le prochain chapitre, et si Canines Woman va peindre l'intérieur d'un estomac de pigeon xD
A la prochaine !
Haha... Saya a des intérêts disons... Bien à elle. Mais ne t'inquète pas... Au fil de l'histoire qui sait... Elle pourrait... plus ou moins "changer" ou du moins, évoluer... :p
SupprimerMerci pour ton avis ! :)
Gros bisous
coucou c'est http://xannuaire-debutantsx.skyrock.com/
RépondreSupprimervoila j'ai fini de lire ta fiction, quand tu as un moment vient me le dire sur mon blog et je te poserais tes questions
a bientôt
et bonne journée
bisous
Coucou c'est Tay :D
RépondreSupprimerRaaaaah j'ai surkiffé ton chapitre ! C'est toujours aussi bien écrit et Dimitri est juste *_*
Bref, voilà. J'adore et je lis la suiiiite. ;)
Ton amie (ou pas) Tay ♥