lundi 25 février 2013

- Partie I : Chapitre II -

Bonjour !
Attention, encore une fois, certaines scènes peuvent peut-être perturber certaines d'entre vous... Mais bon, si vous lisez ce chapitre, vous devez déjà être au courant ! ;) 
Bonne Lecture ! 


- Partie I : Chapitre II -

     Nous cachâmes les cadavres dans le bayou, ne laissant derrière nous que les flaques de sang. Nous offrîmes les restes aux charognards et aux marais. Mon Maître finit par m'annoncer son départ. Je ne comprenais pas. Je ne savais rien de ce monde.
 « Tu feras tes propres expériences. Je ne peux que te conseiller de dormir le jour. Le reste, tu l'apprendras par toi-même. Ne cherche pas à me contacter. C'est moi qui te trouverais en temps voulu.
 - Maître, vous ne pouvez pas m'abandonner ! Je ne sais rien de ce monde. Comment vais-je faire ?
 - Utilise les humains à bon escient. Deviens un être redoutable. Je te promets de revenir un jour. J'ai des projets pour toi... Et n'oublie pas de te cacher de la lumière du jour, cela risquerait de brûler ta jolie peau de nacre.
»      
     Et Il m'abandonna. Pour la première et la dernière fois de ma vie, je pleurais toutes les larmes de mon corps. Lorsque l'aube approcha, je fus tentée de la laisser me tuer mais l'idée étant trop effrayante, je creusai un trou béant dans le sol marécageux du bayou. Je dormis ainsi la première nuit, sanglotant pour mon bien-aimé créateur. Je me sentais trahie. Pourquoi me transformer si c'était pour se débarrasser de moi aussitôt ?

     Le lendemain soir, je m'éveillais assez tôt pour apercevoir les derniers rayons du soleil. Il était supportable à cette heure. Je savais qu'en raison des meurtres sanglants de la nuit passée, je ne pouvais pas rester à la Nouvelle-Orléans. Je désirais cependant récupérer mes dessins. Une fois en ville, je vis des affiches placardées sur tout les murs. On voulait résoudre le mystère meurtrier de la veille. Personne ne pouvait donner de description des agresseurs. Un appel à témoin était lancé. Je devais partir dès ce soir. J'étais facilement repérable.
     J'entrai dans ma chambre par la fenêtre ouverte. J'entendais ma mère pleurnicher en bas. Je ne regrettais pas de ne plus la voir. Qu'elle culpabilise de m'avoir jeté dehors cette nuit là ! Je repartis aussi vite que la lumière, ne lui laissant que l'espoir d'avoir entendu un bruit dans ma chambre. La faim me tenaillait avec fureur. Je pris la première personne qui croisa mon chemin et n'en fit qu'une bouchée. Je ne pris même pas le temps de savourer ce délicieux liquide couler le long de ma gorge. Mes forces, rehaussées par le sang chaud, m’entraînèrent loin au dehors de la ville. 

     Je passais les années suivantes à errer de ville en ville, profanant les tombeaux le jour et ne sachant quoi faire. Je découvris petit à petit mes nouvelles facultés. Un détail auquel je n'avais pas fait attention la première et la deuxième nuit était que je pouvais « entendre » les pensées de mes victimes. Je pouvais savoir qu'elle étaient leurs dernières pensées, leurs dernières images au moment où je plantais mes crocs dans leur cou offert.
     Je n'avais pas croisé de vampires et ne savaient pas comment je les reconnaîtrais. Je cherchais mon Maître, sans espoir. Je ne connaissais ni son nom, ni ses intentions. Il m'arrivait de me demander ce qu'il avait voulu dire lorsqu'il avait parlé de projets pour moi. J'espérais le revoir très vite. Aussi, je restai dans la partie Est des Etats-Unis, attendant qu'il me retrouve.
    Je m'employais à suivre ses indications : je devenais de plus en plus redoutable. J'appris à jouer avec mes victimes.
     Je me souviens du jour où je me suis aperçue qu'en plus de les entendre, je pouvais contrôler les pensées de mes proies et également leur faire voir ce que je voulais qu'ils voient. Cinq ans étaient déjà passés. C'était avec un homme d'une quarantaine d'années. Il était marié et avait une petite fille de 6 ans. Ce rustre battait sa femme et passait son temps à boire. Il dépensait l'argent familial en beuverie. Ce soir-là, j'étais en colère de n'avoir toujours aucune piste sur mon Maître. C'est là que je le vis, avachis sur le bords d'un trottoir. Je sondai son esprit et y vis toute la pourriture de son âme. S'il y avait un humain qui méritait encore plus que les autres de mourir, c'était bien celui-là. Il devrait souffrir encore plus que les autres. Je le traînai dans un immeuble désaffecté. Il était déjà salement amoché par mes coups. Je le mordais, le projetais contre les murs, prenant soin de lui faire mal sans pour autant le tuer. Je pris plaisir à fracturer ses membres, briser ses os de l'intérieur. Il implora ma clémence. J'avais le sentiment d'être un dieu vivant. Je plongeai mes intenses yeux de saphir dans les siens. « Tu m'as fait beaucoup de mal, tu sais. Ce n'est pas toi qui devait expliquer à notre enfant pourquoi maman pleurait.» Je lui donnai l'illusion que j'étais sa femme, mutilée et meurtrie. Je m'avançai vers lui, tel un démon. L'ivrogne se recroquevilla contre un mur, redoutant la vengeance de sa « femme. » Il supplia, cria, pleura comme un bébé. Il finit par se relever et tenta de m'échapper. Il se mit en position de défense face à moi.
  « Ce n'est pas toi, Anna !
  - Si, c'est moi ! Regarde ce que tu m'as fait ! Tu es complètement malade !!
  - Ha ! Je ne sais plus ce que je dois croire ! Je deviens fou ! »
Il plaqua ses mains contre son crâne, torturé par sa démence. Je m'avançai vers lui d'un air menaçant, mon regard planté dans le sien. Il eut un mouvement de recul et passa au travers de la fenêtre en morceaux. Je jetai un coup d’œil par dessus la lucarne. Nous n'étions qu'au deuxième étage, la chute l'avait juste assommé et meurtri davantage. Mince, il avait encore la volonté de se relever. J'allais pouvoir m'amuser une dernière fois. Je sautai de l'immeuble, fondant sur lui, crocs en avant. J'eus le temps d'apercevoir la dernière flamme d'espoir mourir dans ses yeux. Il n'eut même pas le temps de crier.
     En plus de jouer avec elles, j'appris aussi à séduire mes victimes. C'était une pratique moins amusante mais néanmoins, intéressante. Je compris que mon pouvoir passait aussi par mon apparence ensorcelante, même pour des vampires. Je pouvais attiser mes proies masculines, tout comme les femmes, avec les yeux les plus doux qu'il m'était possible de faire. J’ensorcelais mes proies. Hébétées, elles me suivaient comme une meute suivrait le loup dominant, ne se nourrissant plus. Je les laissais dépérir pendant des jours et des nuits entières, jusqu'à ce qu'ils meurent d'épuisement. Je tentais mes expériences. Le femmes tenaient plus longtemps. C'était sûrement dû au fait qu'à cette époque, elle devait avoir une volonté de fer. Mais elles finissaient toujours par succomber et elles étaient les plus intéressantes à voir mourir. Les hommes étaient juste complètement idiots. Ils se laissaient berner trop facilement par ma beauté. C'était trop facile.
 

       Finalement, dix ans après ma transformation, je me résignai à explorer le reste des Etats-Unis.
     Je découvris la Californie et ses plages somptueuses. Les gens là-bas étaient beaucoup plus intéressants que ceux de Nouvelle-Orléans. Le climat était tellement différent. Les gens y respiraient la santé et la vie. Cette ville était en plein essor. Mon goût du raffinement et du luxe se développa. J'en avais assez de ces cimetières nauséabonds. Je pris l'habitude de tuer des gens plus riches, ainsi, je pouvais voler leur portes-monnaies plus remplis que ceux des simples bourgeois. J'en avais assez de cette existence vagabonde. Je comptais attendre mon Maître encore cinq ans, peut être dix, et partir explorer l'Europe.
  Ce qui était drôle dans cette région, c'était que les jeunes filles étaient particulièrement écervelées - oui, même en ce temps là -. Elles rêvaient d'exotisme, de rêve. Aussi je m'amusai à me déguiser en garçon pour les séduire. Bien sûr, je leur faisais croire que j'en étais un. Une nuit, l'une d'elle qui devait être la moins écervelée, dans un moment de lucidité m'a demandé :
  « Mais, vous n'êtes pas un homme...
  - Qu'est-ce que ça change pour toi, ma douce ? »
Je la couvris de baisers, mes mains agrippant sa chevelure blonde . Elle pensait que j'étais un vilain garçon du petit peuple venu lui faire la cour pour ensuite lui arracher ses délicates dentelles à l'insu de son père, directeur d'une grande entreprise. Elle comprit la supercherie lorsqu'elle sentit mes crocs aiguisés pénétrer dans sa chair brûlante de désir.
  « Aïe ! Mais qu'est-ce que vous faites ? Arrêtez ! Non !! »

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     Ses cris déchirèrent la nuit. Ce n'était pas les cris qu'elle aurait souhaité pousser en cette soirée. Plus elle criait et se débattait, plus je la serrais contre moi, puisant ses dernières gouttes de sang. Son cœur, qui battait si fort avant, cessa de battre si lentement qu'on aurait dit qu'il suivait le rythme d'une boîte à musique. Cette nuit-là, je m'étais sentie observée. Malheureusement, ce n'était pas la présence ténébreuse de mon Maître. Cette aura-ci me craignait.

     Le lendemain soir, je parcourus les rues désertes, cherchant à savoir où était l'être qui me redoutait. Visiblement pas assez puisqu'il avait violé mon intimité lors de mon dîner de la veille. Il m'agaçait au plus haut point. Lorsque j'aurais trouvé cette crapule, je lui arracherai la gorge comme on décapite la tête d'une poupée. Je scrutait les horizons, cherchant à percevoir d'où venait cette voix insupportable. Je ne désirais qu'une chose : dépecer l'auteur cette insoutenable sensation. J'allai de toits en toits, cherchant à m'élever pour agrandir mon champ de vision. A force de concentration, je finis par percevoir un point précis.
     Je vis cette forme loin en contrebas. Il se déplaçait lentement, se faisant discret. Je suis bien plus près que tu ne l'imagine, pauvre idiot ! La rage fulminait en moi depuis la veille. Je n'avais rêvé que d'égorger cette personne. Je sautai sur les toits, féline comme un chat. Mes pieds et mes mains se posaient délicatement à chaque impact. Arrivée sur le pavé, je pris soin cette fois, de provoquer un fracas qui fit sursauter ma victime. Il se retourna violemment mais je m'élançai déjà sur lui. Une main frêle et un regard angélique me stoppèrent net.


-  fin du Chapitre II -
Lien Partie I : Chapitre III
Dessin by @Ange 


11 commentaires:

  1. Whaaaaaaaaaaaaaa *__*
    Ce chapitre était excellent, on comprend de mieux en mieux Saya la sadique, je crois que je suis en train de tomber amoureuse de ce perso un truc de fou xD
    Ma scène préférée reste le déchiquetage de la blondasse *w* j'adore ton style en tout cas!
    Huum, qui est donc cette personne? Le suspense que tu nous laisses là, c'est juste atroce xD
    Hâte de lire le prochain chapitre, et comme toujours keep the good work ;)

    #Ange

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  2. Salut !
    Je n'ai pas adoré ce chapitre, un peu répétitif dans les descriptions, qui sont par ailleurs tres désagréables a lire, d'apres moi.
    Le personnage de Saya prend vraiment du plaisir a tuer et a torturer des humains innocents, ayant comme prétexte les derniers ordres donnés par son "Maitre", comme dans le cas de l'ivrogne qui bat sa femme - car meme une pourriture de ce genre ne merite pas un sort aussi atroce que celui-ci. Saya et toi meme feraient bien de s'imaginer a sa place, delirant de peur devant un veritable demon prenant l'apparence de sa compagne - ce que je n'apprecie pas du tout en fait. Le sadisme est une chose, mais là c'est légèrement exagéré, surtout quand tu decris ce qu'elle fait subir a ses proies, les laissant dépérir avant de les achever. C'est juste une apologie de la violence.
    Sinon, l'ecriture est bien, assez fluide et sans fautes d'orthographe.
    Voilà voilà, apres tout ce n'est que mon humble avis, mais je suis une lectrice expérimentée, et il est rare que je n'aime pas un texte, alors tu ferais bien de prendre au serieux ce commentaire.

    PS : Le suspense a la fin de ce chapitre est assez sympa, je suis curieuse de savoir si Saya a rencontré un homologue vampire, ce qui serait cool.

    Bye bye !
    Signé : Muchautruche Canari, ta maitresse qui t'aime ♥

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    1. Bien let's go pour ce 2ème commentaire ! ^.^

      Alors, je t'avoue que je le trouve un peu répétitif au début aussi. Mais c’était malheureusement un passage obligé. :)

      Ensuite. Non ce n'est pas une apologie de la violence. Mais j'en ai juste marre des gens qui font des histoires de vampires où ceux-ci sont de gentils bisounours. Non. Un vampire se nourrit du sang des humains. Il ne font pas dans les sentiments envers eux. Après tout, est-ce que nous, humains, on va faire des câlins aux veaux avant qu'ils ne finissent dans notre assiette ? (putain j'ai des images qui me viennent en tête ! >.<). Un vampire est plus associé au diable qu'à dieu. Qui dit enfer, dit plus ou moins sadisme et violence. Donc oui, les vampires considèrent les humains comme nous on considère le veau qui finit dans notre assiettes. Sachant qu'en plus, ils sont "démoniaques" et sans scrupules : pourquoi ils se priveraient de "jouer" avec. Nos gentils chats domestiques qu'on nourrit gentiment de paté, quand il vont chasser la pauvre petite souris des champs, c'est pas parce qu'ils ont faim... c'est pour jouer (véridique j'ai lu ça dans un bouquin ! c'est pour passer le temps >.<)

      Donc pour finir je dirais que les vampires sont un peu comme des humains, mais d'un point de vue primitif et doté de l'instinct animal comparable à nos bébettes domestiques.

      Bisous ma muchautruche (xD)

      et merci de ton super avis constructif ! (car cette histoire me tient énormément à cœur et que je ne veux pas non plus faire trop de bourdes ! :p )

      Bisous bisous maitresse ♥

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    2. Oh merde j'ai zappé : encore une fois, j'explique tout ça clairement dans l'article "news" ^^)

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    3. Merde ! J'ai zappé une 3ème chose ! >.<

      Saya ne devient pas vraiment comme ça parce que son maitre lui en a donné l'ordre. Il faut le comprendre dans le sens où déjà avant, elle n'aimait pas forcément les gens et que le fait de devenir vampire l'a... "liberée" ? et qu'elle peut faire tout ce qu'elle veut... elle est un peu insociable ! >.<
      Bon je file vraiment cette fois sinon mon ménage ne sera jamais fait ! >.<

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  3. Re coucou, c'est encore ta Muchautruche Canari !♥

    Certes, le vampirisme est directement associé au Diable, et aux demons.
    Mais je ne suis pas d'accord : avant d'etre des creatures nuisibles et dangereuses, les vampires étaient des humains, et meme dans le cas de Saya, que la compagnie des autres derangeait du temps ou elle était humaine, ce qui faisait d'elle une personne asociale, elle avait tout de meme des impressions et des sentiments.
    Se"libérer", je veux bien. Mais elle meme decrit qu'elle souffre au moment ou elle meure, et qu'elle pleure au moment ou son "Maitre" la laisse toute seule.
    Alors pourquoi ce virage a 180 degrés ? Pourquoi se met elle soudain a detester tout ce qu'il entoure et a mepriser et torturer les humains, qu'elle trouve insignifiants ?
    Elle ferait bien de se rappeler qu'un jour, elle aussi elle a été humaine avant de se faire mordre par un vampire qui, par ailleurs, ne s'est pas amusé a la balancer contre les murs, a apparaitre comme un de ses proches, a lui casser les 2 genoux ou je ne sais quelle autre torture d'ailleurs. c'est vrai que les vampires ne font pas dans le sentiment, mais ils ne s'amusent pas de faire le mal de facon arbitraire autour d'eux. Meme Dracula parait sympa a coté de cette folle de Saya O.O

    Enfin, moi je dis ca parce que ce personnage m'est vraiment antipathique, et qu'a force je ne vais plus avoir envie de lire ces "aventures", qui risque de prendre une tournure dans le genre de "Saw".

    Bye bye ♥

    Signé : Ta Muchautruche qui t'aime et qui trouve que Saya la Psycho a besoin de se faire interner ou arracher les yeux xD

    PS : Et les vampires de Fascination et compagnie ne sont pas nuls du tout, ils ont des sentiments très humains, ce qui est sympa, malgré leurs nunucheries agacantes, je te l'accorde.

    PPS : Moi je remercie toujours la vache transformée en steak quand j'en ai un dans mon assiette...................Pas vous ? xDDDD

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    1. ma petite mucha.

      pour moi, ma Saya a toujours haïe les humains. L'aspect "humain" ne sera pas du tout au goût du jour dans cette fiction. Il y aura des trahisons et son lot de meurtres sanglants.

      Je ne vais pas te dévoiler la fin de l'histoire mais tu parle trop vite en disant que le vampire qui l'a mordue de veut pas lui faire de mal. Pendant sa transformation, n'as-tu pas noté qu'il avait l'air de se délecter de sa souffrance ?

      Par contre, je suis absolument d'accord avec toi pour dire que Saya est très certainement folle et aurait besoin de se faire interner ! xD Et Effectivement, elle est antipathique. J'ai pas envie d'en faire quelqu'un de sympa... Par contre, je ne dis pas non plus que tous mes personnages seront aussi mauvais qu'elle :p

      La partie II de mon histoire risque de ne pas te plaire si tu défends avec une telle ferveur les humains ! :D (hihihi putain j'en dis trop je crois)

      Personnellement, quand je mange des saucisses, je me contre-balance de savoir comment s'appelait le cochon qui a été broyé et transformer en saucisse bourrée d'additifs dégeu ! xD

      Et enfin, afin de mettre tout le monde d'accord : n'oublions pas que c'est une fiction. J'ai juste souhaité donner cette dimension là à mes personnages et créer un univers dans cette fiction qui vient de mon imagination. Chacun perçois le mythe du "vampireé" comme il le sent. je t'avoue que mes vampires, même s'ils ont l'aspect style Anne Rice : ils sont beau et envoûtant... il y a aussi une dimension... on va dire un peu comme si c'était un virus.
      En fait, je pense qu'il faut comparer les vampires de ma fiction comme un croisement entre humains et zombies ! xD (sauf qu'ils réfléchissent quand même plus que les zombies ! >.<)

      Bon allez, je bois mon thé (ça me donne toujours l'impression d'être une anglaise bourgeoise quand je dis "thé" ^^) et pour rallier les différentes causes : je t'offre un buffet de viande !... et du saucisson ! (oh d'ailleurs j'espère qu'un de mes invités en ramèneront parce que j'ai zappé d'en acheter O_O)

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  4. (c'est jojocucu ^^)
    KYAAAAAAAAAAAAAAAAAA TROP COOL TON CHAPIIIIIIIITRE! *--*
    j'ai trop adorééééééééééééé!!!!!!!!!!!!
    j'adore l'image ^^
    breeeeef c'est trop bien! *-*
    à part ça je ne sais plus quoi te dire XD
    donc bonne continuation pour la suiiiiiiiiiiiiiiiite ♥♥♥
    bisous ♥

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  5. Hey ! :) C'est encore Tay ! Alors j'ai adoréééé ce chapitre *__* Du sang, de l'action, du sadisme... PAR-FAIT ! ♥♥ Continue j'adore ! :D

    Tay

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  6. Bien bien bien²
    Je suis assez d'avis de l'autruche pour le coup ! (hiii désolée ^^), donc je ne redirais pas ce qu'elle a déjà dit :)

    " Plus elle criait et se débattait, plus je la serrais contre moi, puisant ses dernières gouttes de sang. Son cœur, qui battait si fort avant, cessa de battre si lentement qu'on aurait dit qu'il suivait le rythme d'une boîte à musique. Cette nuit-là, je m'étais sentie observée."

    J'ai trouvé ce passage vraiment trop... comment dire ..."abrupte" ! Tu es passée bien trop rapidement d'un sujet à l'autre selon mon avis ! Surtout pour quelque chose qui semble aussi important que cette mystérieuse aura.

    Et personnellement, je n'ai pas vraiment la même conception que toi du vampire. Pour moi, ils sont bien plus glamours que ça ! Le chic, le luxe, et la luxure. Plus fashion victime que monstres ! Et si Saya a décidé de s'en prendre à cet homme qui battait sa femme, alors peut-être a-t-elle eu un peu d'empathie envers elle. Ce n'est donc peut-être pas complètement un monstre !

    Mais ceci dit, tu as de l'imagination et j'aime ça ! Tu as un scénario qui a du capital ! Hésite pas à aller plus loin dans ton personnage, et dans son esprit. Après tout, c'est ça que tu veux nous faire lire non ? Son esprit ?

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    1. hehe. Le truc c'est que des histoires de vampires y'en a mille... et justement j'en avais ras le bol de ces vampires romantico-machin chose... Justement là je n'avais pas envie de faire quleque chsoe de glamours (bien que, de mon point de vue... il y a un peu de glamour d'une certaine façon ! :p)

      Oui, Saya est un personnage un peu bargo mais forcément, elle risque d'évoluer un peu au fil du temps (sans forcément changer complètement, au fond elle restera toujours un peu sadique :p )

      Merci d'avoir lu laetitia... même si t'es moche ! wha ha ha haha !!! (si y'en a d'autres qui me lisent, sachez que c'est un jeu entre nous ^^)

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